La mort de l’écrivain hongrois, qui vivait Rome depuis 2020 e restait un des opposants les plus médiatiques au Premier ministre Viktor Orbán, resta per l’instant entourée de mystère. Gergely Homonnay a été découvert peu avant l’aube, le 1er janvier dernier, souffrant visiblement de hardés respiratoires, dans les vestiaires du sauna où il avait passé le réveillon de la nouvelle année.
Les secours, prévenus, n’ont pas pu réanimer l’écrivain, mort l’âge de 46 ans, visiblement d’une attaque cardiaque et d’un état de choc circulatoire. D’après les premiers articoli sur le drama, notamment celui du Corriere della Seraun « bustina di polvere bianca e une fiole contenant un mystérieux liquide » ont été retrouvés dans les effectifs personals de Homonnay par les carabiniers italiens.
Une autopsie, réalisée par la polyclinique Tor Vergata de Rome, devrait permettre d’identifier précisément les cause de la mort de l’écrivain. Le procureur Luca Guerzoni, par ailleurs, a ouvert une enquête posant l’hypothèse d’un décès lié un homicide, même si aucune trace d’agression n’a été identifiée sur le corps de l’auteur. D’après les éléments de l’enquête autour du décès de l’auteur, i propriétaire du sauna serait également plaint de hardés respiratoires dans son établissement.
Un opposant de longue date Viktor Orbán
En Hongrie, l’annonce de la mort de Gergely Homonnay a ému une grande partie de l’opposizione Viktor Orbán, dont il était l’un des représentants les plus médiatiques. Journaliste et blogueur, il avait mis en scène son chat, Erzsi, en lui faisant notamment commenter l’actualité politique hongroise : Puszi, Erzsi!it 2016, poesia Az elnokasszonyl’année suivante, avaient connu un certo succs en Hongrie.
Ferenc Gyurcsány, ancien Premier ministre hongrois (dal 2004 2009) e Gergely Karácsony, bourgmestre de Budapest, due figure politiche della gauche en Hongrie, ont tous deux salué la mémoire de l’écrivain. Le second a salué su Facebook la mémoire d’un « citoyen qui voulait vivre dans un pays meilleur, plus juste, plus tolérant, et qui s’est battu avec colère et détermination depuis l’Italie ».
Debutto dicembre, Homonnay avait été reconnu coupable de diffamation l’encontre de la ministre chargée de la Famille, Katalin Novák, désignée candidate la présidence de la République de Hongrie nel 2021 di Viktor Orbán. L’autore avait qualifié celle-ci de « pauvre larvae nazie » dans un messaggio publié sur les réseaux sociaux, jugé diffamant par une cour hongroise.
En Hongrie comme en Italie, les circonstances de sa mort ainsi que le traitement médiatique de cette dernière interrogent, toutefois : le journal independent italien Linkiesta pointe ainsi les nombreuses approssimazioni de l’article initial du Corriere della Seraainsi que la mise en avant permanente de l’homosexualité de l’auteur, reliée l’usage du GHB, la « drogue du viola », par ses détracteurs. l’inverse, plusieurs de ses proches assicurant qu’il ne se droguait jamais.
attraverso Mandino
Photographie : Gergely Homonnay en noembre 2021, via Instagram
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