DÉCRYPTAGE – Sa sortie du gouvernement italien ferrait tanguer les marchés.
Roma
Pour l’Italie, vaut-il mieux avoir Mario Draghi president de la République au Quirinal, sans pouvoirs exécutifs, pour sept ans, ce qui donnerait l’assurance de son ancrage Durable en Europe? O maintenir Mario Draghi au poste de premier ministre a Palazzo Chigi, donc en pleine possesses des leviers décisionnels poursuivre les réformes et lancer les investissements du plan de relance? Mais ce, pour un an jusqu’aux élections legislative de mars 2023? Et encore, ce n’est pass si sûr…
À six semaines de l’élection présidentelle, qui beginra entre le 17 et le 24 janvier prochain, c’est la question qui agite toute la class politique et l’establishment. Sachant que le president sortant, Sergio Mattarella, qui a été longuement ovationné la Scala aux cris de «Encore» pour un deuxième mandat, rifiutate catégoriquement de s’y prêter. Prenant acte des craintes émises et là, le Financial Times una tranche: «Si Draghi était élu la présidence de la République, le pays tomberait dans l’instabilité…