Rentrée sous haute tension en Italia. Pass sur le front économique et social : les prospettive di croissance sont de 6% la fin de l’année et le premier acompte de 25 miliardi di euro du plan de relance européen a été reçu le mois dernier.

C’est le passe sanitaire qui suscite une hostilite de plus en plus violente de la part d’une frange, certes minoritaire, de la people. Depuis son entrée en vigueur le 6 août, les manifestazioni se sont multipliées dans tout le pays. Un movimento « no vax » soutenu notamment par les néofascistes de Forza Nuova et CasaPound et qui bénéficie de la sympathie de la Ligue de Matteo Salvini et de Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni. Deux partis qui rassemblent eux seuls più il 40% delle intenzioni di voto.

Il governo prevede di imporre la vaccinazione

Les no vax préfèrent la rue aux urnes pour s’exprimer. « Non la dicture » e « Oui la liberté » sont les slogans le plus souvent scandés pour dénoncer la campagne de vaccination de masse et l’obligation du passe sanitaire, r equis depuis cet été dans les lieux fermés ou encore pour les concours publics, congressi et foires. Le restrizioni imposte alle persone qui n’en sont pas munies sont étendues partir du 1^ehm settembre.

L’est dorénavant exigé pour les transports de longue distance en Italie et pour les enseignants et les étudiants universitaires majeurs. Si 70 % des Italiens de plus de 12 ans sont pour l’instant vaccina, l’objectif du gouvernement est de franchir les 80 % la fin du mois. L’idea di imporre l’obbligo vaccinale, rispondere a una domanda del comitato di biosécurité o encore du patronat, qui souhaite que le passe sanitaire fasse son entrée sur les lieux de travail.

Tolleranza zero faccia la violenza

De quoi provoquer une nouvelle escalade de violences chez les no vax. Elle n’est désormais plus seulement verbale et ne se cantone plus aux provocations avec des manifestants arborant des étoiles jaunes, avec la menzione «Non vacciné». Des giornalistises ont été agressés physiquement, des minaces de mort ont été proférées l’encontre d’hommes politiques, de syndicalistes et de virologues favorevoli alla vaccinazione. Dans sures cas leurs coordonnées personalles ont été divulguées sur les réseaux sociaux.

Les appels des manifestazioni violentes pour déstabiliser le gouvernement et les théories complotistes se multiplient. Elles sont relayées sur des groupes Whatsapp et Telegram. Les no vax entendaient notamment bloquer l’accès plus d’une cinquantaine de gares ce 1^ehm settembre, ce qui a provoqué un importante déploiement de force de l’ordre. De quoi dissuader une mobilization qui a fait un véritable flop confortant le gouvernement dans sa fermeté. « Tolérance zero, a insistere sul ministre de l’Intérieur Luciana Lamorgese . Aucune minaccia ou invito commettre des délits en utilisant le Web ne sera tolérée. » Des enquêtes ont été ouvertes, dont une pour terrorism, par le parquet de Turin.