« Introduzione », « H6 », « Les Jeunes Amants »… Les sorties cinéma de la semaine

LA LISTE DELLA MATINALE

Le quotidien d’un hôpital de Shanghaï, un antihéros de la loss la française, la derive d’un ex-acteur porno, un amour inattendu, le parcours d’une cinéaste… L’offre est éclectique cette semaine dans les salles oscure .

« Introduzione » : un art de montrer qui est un art de penser

Imperceptiblement, peut-être, depuis plusieurs films, sûrement, le cinéma de Hong Sangsoo semble habité par de nouvelles préoccupations, de nouvelles ossessions, douces et cruelles la fois. La concision formelle et temporelle s’impose résolument, le récit devient de plus en plus fantomatique. A charge pour le spectateur de le reconstituer partir de momenti disséminés et sédimentés, durant lesquels sont montrés des personnages dont on ne sait si ce qu’ils éprouvent, ce moment, relève de l’insignifiant veentiel, du l’ essentiel ou de la realite . Sans doute parce que, dans il cinema de l’auteur du Jour où le cochon est tombé dans le puits, ces termes cessent parfois de se contredire. Soit le destin de Youngho, un jeune homme appélé par son père médecin le rejoindre, mais que celui-ci fait Patienter dans une salle d’attente, où il rencontre un ami de ce géniteur invisible, un acteur ; rencontre qui lui donnera envie, dira-t-il, d’exercer ce métier. Derrière son minimalism, son noir et blanc laiteux, sa concision et la fausse simplicité de sa forme, le film de Hong Sangsoo atteint, une fois de plus, ce qui constitue l’essence même du cinéma : un art de montrer qui est aussi un arte di pensiero. Jean-François Rauger

Film di Coreen de Hong Sangsoo. Avec Shin Seokho, Park Miso, Ki Joo-bong (1 p 06).

« H6 » : il prezzo dell’homme dans un hôpital de Shanghaï

De Chine, laboratoire sociopolitique d’une grande ampiezza et d’une sourde violent, nous arrivent régulièrement des films dont la densité, l’âpreté, la singularité témoignent de ce qui se déroule sur ce théâtre des opérations o comunist auto ultraliberalism. H6, premiere long-métrage documentaire inattendu d’une réalisatrice cinese installato in Francia depuis 2001, en est un nuovo esempio. Ye Ye est en effet retournée en 2015 dans son pays natal pour y filmer, dans l’hôpital du peuple n° 6 de Shanghaï, le sort de quelquespatients et de leurs familles. Il progetto di Ye Ye consiste se mettre du côté des familles, et suivre leur parcours jusqu’à la sortie de l’hôpital. L’intérêt sociologique s’y dispense équitablement avec des momenti d’une grande intensité émotionnelle. La dureté du sort qui s’abat sur les malades et leurs aidants, réduits le plus souvent se ruiner pour payer les soins, est sans nom. Ce film ne se résume pas toutefois l’intolérable étreinte de la souffrance et du dénuement. Il est aussi plein de vie, de Resistance, d’espoir. Il est, sa manière, un bel et pathétique éloge de l’endurance du peuple chinois. Jacques Mandelbaum

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Rodolfo Cafaro

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